Il est des hommes de caractère qui brillent des mille feux de la notoriété et qui se disent avec déférence. Pourtant dans les coulisses, le héros se déplume un peu. Il n’hésite jamais à faire sienne avec éclat. Ainsi le commandant Cousteau perd à être connu mais il n’est pas le seul.
Prenons Ferdinand Porsche, le grand homme de l’industrie automobile allemande portant sur la paternité de la merveille des merveilles, la Volkswagen. C’est un petit véhicule sautillant, robuste et monté sur la sortie de route et le meurtre de ses occupants.
Est-ce que ce concept est imaginé? Pas du tout, l’inventeur de la coccinelle (en mieux) c’est… Hans Ledwinka. Depuis les années vingt il est ingénieur en chef chez Tatra où il imagine et conçoit des autos destinés à la production de masse. Roues indépendantes, châssis en épine dorsale, moteur arrière, refroidissement à air, essieux pendulaires, voilà ce qui caractérisait les réalisations de Ledwinka. Nous n’oublions pas l’aérodynamique.
Hitler passionné d’automobile ne veut pas remarquer l’originalité des Tatras et avoir envie de partir de ses autoroutes avec. Il est en charge de Ferdinand Porsche qui est allée au-delà de l’épaule de Ledwinka dès que le grand Reich est approprié pour la Tchécoslovaquie.
L’action en justice que l’ingénieur tchèque a déclaré alors qu’il était épilogue en 1946.
Mais, pour la guerre populaire, il reste encore de Ferdinand Porsche aiguillonné par Hitler.
Ainsi va la vie, à la semaine prochaine
Donec
PS: sur le blog donec.eu une interview de Donec à l’occasion du Festival Trait d’Humour Bonjour la compagnie,